Libertés Suédoises

Catégories : Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
il y a 3 ans

Pénélope était une jeune Espagnole, étudiant l’économie dans une Université de Séville. Dans son cursus, elle avait la possibilité de partir un an étudier dans un pays étranger. Elle avait choisi la Suède pour son libéralisme. Elle aimait son pays mais la vie n’était pas facile pour les jeunes filles comme elle. C’était une question de mentalité.

Pénélope était ravissante. Elle avait 19 ans et c’était une vraie Méditerranéenne. Elle était mince, la peau mate et avait des cheveux noirs tombant sur ses épaules. Son visage était beau avec des yeux d’un noir profond. Elle avait une poitrine bien ferme et portait un bon 90B. Elle n’était pas bien grande, 1m65 mais cela n’empêchait pas les garçons de la draguer.

Mais Pénélope n’était, par contre, pas folle des garçons. Elle avait été avec certain d’entre eux mais n’avait pas trouvé le plaisir tant raconté par ses copines. Depuis quelques années, elle s’était rendu compte qu’elle trouvait les filles plus attrayantes, mais il est très difficile de montrer son homosexualité dans un pays méditerranéen. Elle n’avait donc aucune chance d’assouvir son désir dans son pays.

Par contre en Suède, tout était différent. On pouvait montrer sa sexualité sans que cela ne choque les gens. Elle croisait des filles qui s’embrassaient sans retenu dans les couloirs de son Université. Ceci était impensable dans son pays. Elle avait découvert un Club et aimait y passer de temps en temps. Ce n’était pas uniquement un club pour les homosexuelles. On y trouvait de tout. Il y avait des « Gogo-Girls » qui dansaient sur des podiums, sur le bar et Pénélope aimait les regarder tout en buvant un verre. Cela l’excitait beaucoup.

C’était la troisième fois qu’elle venait dans ce Club. Comme les deux autres fois elle regarda les danseuses se trémousser. Deux danseuses firent une exhibition torride. Elles se caressèrent et s’embrassèrent sans vergogne. Cette exhibition la rendit toute chose. Sa culotte fut trempée. Elle portait une robe noire sans soutien-gorge.

Peu après minuit, elle décida de rentrer chez elle. Elle avait suffisamment rechargé ses batteries pour la semaine. Elle avait dansé et le frôlement des filles près d’elle l’avait enivré. Elle entra dans la pièce où étaient rangés les manteaux. La pièce était vide. La porte se referma derrière elle. Elle attrapa son manteau. Alors qu’elle le mettait, elle entendit la porte s’ouvrir derrière elle sur la musique du Club et se refermer. Brusquement, la lumière s’éteignit.

Elle fut effrayée et pensant à un minuteur, elle attendit que la personne rallume. Cela n’arriva pas. Elle sentit la personne se coller dans son dos et deux mains s’emparèrent de sa poitrine. Elle eut peur et voulu crier. Mais curieusement elle ne le fit pas. Les mains étaient douces sur sa poitrine et elle sentait la respiration de la personne près de son oreille. Comme elle était calme, elle se calma à son tour.

– Chut. Ne criez pas s’il vous plait ? Je vous ai observé ce soir, ainsi que les autres soirs. Je vous ai vu prendre plaisir à danser avec les autres filles et regarder les « Gogo-girls ». Si vous voulez ressentir plus de plaisir que ce que vous pouvez imaginer, suivez moi ! Sinon, vous pouvez partir et cela restera sans suite. Décidez.

La voix était douce, une voix de femme lui parlant en Anglais.

La jeune fille de 19 ans frissonna. C’était très bizarre comme situation et cela l’excitait beaucoup. Elle avait attendu cela depuis des années. Par contre pouvait-elle suivre une inconnue et se donner à elle ? Elle ne savait pas à quoi elle ressemblait et ce qu’elle pouvait bien avoir dans la tête. Cela ne fit qu’accroître son excitation.

– Je vous suis ! soupira t’elle dans une voix trahissant son état.

A sa réponse, une langue humide glissa sur le lobe de son oreille. Les mains abandonnèrent sa poitrine. Elle sentit une pièce de tissus en soie se poser sur ses yeux. La femme lui banda les yeux en douceur.

– Pourquoi… demanda t’elle en tremblant d’excitation. – Tout va bien petite fille. Relaxez-vous. Je ne vous ferez pas de mal. Maintenant, suivez-moi.

Elle prit Pénélope par les épaules et la dirigea à l’extérieur. Pénélope était totalement en sa possession.

La femme héla un Taxi et l’aida à monter dedans. Elle donna une adresse dans sa langue, langue que Pénélope ne maîtrisez pas encore. Alors que le taxi démarrait, la femme s’approcha d’elle. Elle sentit ses lèvres douces se poser sur les siennes et une langue glissa sur ses lèvres closes.

C’était un baiser tendre, doux, affectueux, sans pression. Pénélope se détendit et oublia le taxi ainsi que le conducteur qui devait ne perdre aucune miette de la scène. La langue explorait ses lèvres et doucement elle finit par les ouvrir livrant le passage dans sa bouche. Les deux langues se rencontrèrent et une danse diabolique les anima. Ce fut le baiser le plus chaud de sa jeune vie. Elle s’abandonna totalement.

Le chemin qu’elle avait prit ? Pénélope ne s’en préoccupait plus, goûtant au délice du baiser. Le taxi finit par s’arrêter. Le temps aussi pour Pénélope. La femme paya et elles sortirent de la voiture sous les gloussements de la femme suite à une remarque du chauffeur.

Elles prirent un ascenseur et elles entrèrent dans un appartement. Lorsqu’elle entendit le loquet de la porte se refermer, son excitation grimpa encore plus. Elle était à la merci total de cette fille, quelque part en ville. La femme la débarrassa de son manteau et la fit avancer dans la pièce. Elle sentit quelque chose de doux au niveau de ses genoux. Ce devait être le lit.

La fille la laissa un peu seule, la laissant prendre conscience de son état. Alors des mains douces et tendres partirent à la découverte de son corps. Cela commença par son visage, sa bouche, ses lèvres, son cou descendant vers ses seins. Pénélope tremblait sous la caresse. La femme déposa à nouveau ses lèvres sur les siennes pour un baiser plus poussé cette fois. La langue était devenue plus vorace dans sa bouche. Elle adorait cette domination. Une tempête de plaisir envahit son corps et à nouveau elle s’abandonna à elle.

Sans ressentir la moindre pression, elle fut déshabillée et gentiment allongée sur le lit. Elle ne lui avait laissé que son tanga blanc.

– Vous êtes vraiment très belle dit la femme dans sa voix sexy. Donnez-moi vos mains ! Je ne vais pas vous entraver, vous pourrez vous libérez sans problème. Je veux seulement que vous vous abandonniez totalement.

Volontairement, cette fois, la jeune fille espagnole posa ses mains au deux coins du lit. Elle fut entravée par deux foulards en soie.

La femme la laissa ainsi. Elle l’entendit se déshabiller à son tour. Elle entendit ensuite de léger gémissements avant que la femme s’agenouille près d’elle. Elle l’embrassa à nouveau et glissa un doigt odorant et humide près de son nez.

– Renifle cela ! Est ce que tu aimes ? – Oui, j’aime cela. répondit la jeune fille excitée.

Le doigt glissa sur ses lèvres et glissa entre elle. Pénélope le suça, le nettoyant. Le goût en était très agréable. C’était nouveau pour elle.

– Tu aimes le goût ? – Oui. acquiesça t’elle. – C’est le goût de ma chatte. Aimerais-tu me lécher le minou ?

La jeune fille acquiesça extrêmement excitée par ce qu’elle entendait.

– Tu pourras me lécher le minou aussi longtemps que tu le voudras, petite fille. Pas maintenant. Je veux d’abord te donner du plaisir ma beauté.

La femme alla entre ses cuisses ouvertes. Elle la sentit se rapprocher d’elle et sa bouche vorace s’attaqua à la sienne. C’était un baiser furieux. La femme était allongée sur elle, et pour la première fois leurs poitrines se touchaient. Les seins se massaient mutuellement et les tétons de la femme étaient aussi ardents que les siens.

Doucement elle commença à descendre le long de son corps, à petit coup de baiser. Elle massait délicatement ses seins. La bouche de la fille attaqua sa poitrine laissant des cercles de salive autour de ses tétons. La fille l’excitait de petit coup de langue puis finit par gober l’un de ses seins. Pénélope gémit bruyamment. Les doigts de l’autre main pinçaient ses tétons durs comme du silex. La fille suça ses seins à tour de rôle la faisant gémir un peu plus.

La fille arrêta la t o r t u r e sur ses seins. Pénélope respirait rapidement, bruyamment. La femme écarta un peu plus ses jambes. Pénélope trembla. Ça y’est. Ce qu’elle avait tant rêvé allait se passer. Une femme allait toucher pour la première fois son sexe gorgé de liqueur. La femme caressait doucement l’intérieur de ses cuisses s’approchant petit à petit de sa chatte humide. Enfin un doigt glissa sur la fente. Elle portait encore sa culotte, culotte qui épongeait ses liqueurs. Elle trembla à nouveau. Son corps ondula instinctivement.

– S’il te plait ? gémit elle. – S’il te plait, quoi ? – Il faut que je jouisse, s’il te plait… gémit-elle alors que la femme la caressait de façon plus appuyé à travers sa culotte.

Elle était prête à jouir quand la femme finit par la débarrasser de sa culotte poisseuse. Elle était maintenant totalement nue.

Elle était là, allongée les jambes écartées, la chatte en éruption devant une femme totalement inconnu. D’autres filles seraient parties en courant. Elle, elle ne voulait que jouir.

Elle sentit quelque chose de chaud se poser sur son minou, quelque chose qu’elle n’avait jamais senti à cet endroit. Elle sut qu’il s’agissait de la bouche d’une femme.

La femme embrassait lentement la totalité du sexe humide. Elle s’agrippa aux hanches de la méditerranéenne tellement son corps tanguait. Pénélope hurlait son bonheur surtout lorsque la langue la pénétra. Il ne fallu pas longtemps pour qu’elle jouisse sous les coups de langues de la Suédoise. Des vagues de plaisir envahirent son corps, vagues qu’elle n’avait jamais connu auparavant. Ce fut alors un orgasme prodigieux. Elle criait sous les vagues du plaisir pendant que la femme continuait à boire ses liqueurs.

Son corps fut parcouru de quelques soubresauts avant que la fille ne daigne abandonner son sexe douloureux. La femme vint l’embrasser lui permettant de goûter ses liqueurs à même sa bouche. Son baiser était toujours aussi affectueux. Une fois bien reposée, la femme lui retira le bandeau.

A genoux près d’elle, elle découvrit la plus belle des filles qu’elle n’avait jamais vues. Elle devait faire 1m80, un corps svelte laiteux et de grandes jambes musclées. Sa poitrine était ferme et bien plus grosse que la sienne avec des tétons très arrogants. C’était une vrai blonde Scandinave, comme elle appréciait depuis son arrivée. Pénélope lui donnait bien 10 ans de plus qu’elle, mais avec un corps…

– Tu es merveilleuse, si belle… dit elle. – Merci. C’est quoi ton nom ? demanda la belle blonde en souriant

Il n’avait pas échangé leur prénom.

– Pénélope. répondit elle en rendant son sourire. – Je m’appelle Astrid. Tu te souviens de ce que je t’ai promis ? Pénélope hocha la tête. Tu veux goûter ma petite chatte juteuse, Pénélope ? Veux-tu me lécher ?

La méditerranéenne acquiesça.

Elle était toujours entravée au poignet. Astrid se leva et alla s’agenouiller au dessus de son visage. Lentement, elle déposa son sexe humide sur la bouche de Pénélope.

Pénélope aimait le goût de sa chatte, dans sa bouche. Elle voulait boire tout ce qu’Astrid lui offrait. Elle aimait entendre les gémissements d’Astrid au dessus d’elle. C’est comme ci elle avait toujours su comment brouter une femme. Elle suivait son instinct et elle était sur la bonne voie. A f o r c e de coup de langue et de sucions, Astrid eut à son tour un orgasme. Jamais Pénélope n’avait bu autant de liqueurs.

Astrid finit par détacher la jeune méditerranéenne et elles restèrent allongées, l’une contre l’autre dans le lit d’une place à se caresser les pubis.

– C’était bon ! Tu a bien travaillé mon amour – Surtout que c’était ma première fois. – Quoi, je t’ai dépucelé. Je ne te crois pas !

Pénélope lui parla de son pays et de la difficulté de vivre une relation comme elle venait de connaître.

– Tu es merveilleuse dit Astrid. Je peux encore t’apprendre d’autres choses. Veux tu que je sois ton professeur de plaisir lesbien ? Veux tu que je te montre comme donner et prendre du plaisir ? Veux-tu être ma vicieuse et cochonne étudiante ?

Pénélope lui donna un baiser passionné comme réponse. Elle roula alors sur la blonde Scandinave tout en lui pétrissant la poitrine. Une jambe glissa entre les cuisses du professeur afin qu’elle se caresse sur sa cuisse.

Les deux femmes repartirent au combat, mais dans celui-là, il n’y avait pas de m o r t .

Romy

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